Gallimard, 2013, 18€, 528 p.
Une catastrophe à scindé la
Terre, créant un monde magique en morceaux, vivant tout de même, relié par des
dirigeables. Ophélie vie tranquillement, gardienne de son musée sur Anima,
lisant le passé, passant les miroirs et apprivoisant son écharpe. On lui
annonce alors qu’elle est fiancée à Thorn, un inconnu du Pôle. Elle doit sans
tarder le suivre à la Citacielle, passant d’une vie simple à un monde glacé et
sans vie ou chacun tente de faire sa place à coup d’intrigues. On lui prédit
qu’elle ne passera pas l’hiver… Mais qu’en savent-ils ? La souris malingre
se découvre un force inconnue, une intelligence du complot, des alliés peu recommandables
et des ennemis là ou il ne peut y en avoir.
Une histoire d’amour ? En
fait peu importe. Ophélie ne peut compter que sur elle-même et franchira les
obstacles. Le monde qu’elle découvre est aussi étrange pour elle que le sien
pour nous. Un peu compassé, le récit se poursuit sans anicroche.
Palpitant et passionnant. Je n’ai
lâché le livre qu’à sa dernière page, qui à le culot de finir le livre en queue
de poisson ! Quand-est-ce que sort la suite, déjà ?
«La
Passe-miroir» est le lauréat du concours « premier roman jeunesse »
organisé par Gallimard Jeunesse, RTL et Télérama.
BONUS : magnifique couverture de Laurent Gapaillard
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