Oskar, 2013, 14€95
Adélie veut devenir médecin. Seulement en 1913, à l'aube de la première guerre mondiale, l'heure est encore aux conventions sociales sévères. La femme est destinée à être épouse et mère, irréprochable. Le reste n'est que diversion. D'autant plus quand on est jeune fille de bonne famille...
Adélie va pourtant obtenir son baccalauréat, puis son entrée à la faculté de médecine ! Avec le soutient de son amoureux caché, Antonin, qui veut être chirurgien, mais qui n'est pas bon parti, et pour cause : sa mère fut danseuse et artiste peintre.
Mais son histoire d'amour est courte, et la Grande Guerre commence. Pour échapper au mariage forcé organisé par ses parents mais pouvoir un jour continuer ses études, Adélie s'engage dans la Croix-rouge dès l'arrivée des premiers blessés. Elle est bientôt jetée au milieu des combats et donnera le meilleur d'elle-même.
Le lien Adélie-Antonin tient lieu de fil rouge. L'amour de la médecine est le sujet central. Une fable féministe, qui veut l'émancipation de son héroïne. Bien sûr, il y aura toujours fort à faire pour les femmes...
Intéressant, bien qu'Adélie soit encore trop romantique pour ma pomme !
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